Close Menu
SUD SAHEL – Le Rad'Art De La Culture Africaine

    S'abonner

    Recevez les dernières nouvelles de SUD SAHEL.

    Quoi de neuf ?

    Ouverture des candidatures pour le Programme Adinkra : Un appel mondial aux leaders émergents d’Afrique et de sa Diaspora

    Patrimoine burkinabè – KPG : « ne pensons pas que ce sont des choses sataniques »

    Mois du patrimoine burkinabè : KPG ravive des contes à Ouagadougou

    Facebook X (Twitter) Instagram
    dimanche, juin 1
    Facebook X (Twitter) Instagram
    SUD SAHEL – Le Rad'Art De La Culture AfricaineSUD SAHEL – Le Rad'Art De La Culture Africaine
    Demo
    • Accueil
    • Cinéma
    • Histoire
    • Tourisme
    • Littérature
    • Arts vivants
    • Artisanat
    • Vlog
    SUD SAHEL – Le Rad'Art De La Culture Africaine
    Vous êtes à :Accueil»Cinéma»Mabata Bata: de l’authenticité faite film
    Cinéma

    Mabata Bata: de l’authenticité faite film

    La RédactionBy La Rédaction3 mars 2019Aucun commentaire2 Mins Read2 Views
    Facebook Twitter Pinterest Telegram LinkedIn Tumblr Email Reddit
    Partager
    Facebook Twitter LinkedIn Pinterest WhatsApp Email

    « Mabata Bata » est le titre du dernier film du réalisateur mozambicain Sol de Carvalho. Ce film ayant retenu mn attention était programmé pour le lundi 25 Février 2019 à 22h30 au ciné Burkina, une salle d’une capacité de 500 places. Je  m’en vais dans les prochaines lignes vous relater mon expérience avec Mabata Bata.

    Pour m’assurer de ne rien manquer, j’étais sur place à 21h30. J’attendais impatiemment devant la salle de projection prise d’assaut par des cinéphiles attroupés çà et là. Fatigués par l’attente et à bout de patience, certains avaient préféré jeter l’éponge. La phrase magique était : « demain est un autre jour. »

    Mais pour moi, pas question d’abandonner.  L’attente fut assez longue car initialement prévue pour 22h30, c’est finalement à 23h45 que nous avons accès à la salle de projection, après les traditionnelles fouilles policières.

    Après la lecture d’une lettre que le réalisateur, absent au festival, a rédigée, la projection commence.

    Une histoire authentique

    « Mabata Bata » s’inspire des coutumes et croyances, africaines des guerres et réalités sociétales pour montrer la foi en une vie dans l’au-delà, dénoncer la guerre et plaider pour la scolarisation des enfants à travers l’histoire de son personnage principal Azarias.

    Le film montre ce à quoi l’homme est capable pour préserver ses intérêts. En effet, Azarias est un petit enfant qui voulait aller à l’école. Mais selon la tradition, il devait paitre le troupeau de son oncle qui travaille dans les exploitations minières en Afrique du Sud.

    Par-dessus tout, il devait prendre soin de Mabata Bata, le plus grand et préféré bœuf de son oncle. Mais Mabata Bata, puis Azarias marcheront sur une mine qui explosera. Selon la tradition, des invocations doivent être faites pour appeler l’esprit du défunt pour qu’il bénisse la famille. Une véritable négociation spirituelle alors commence…

    La force du film réside dans son authenticité. Mais l’une de mes déceptions a été l’absence d’émotion tout le long de l’histoire. Cela est-il dû peut-être au fait que le film était entièrement en langue locale et sous-titré en français ?

    Quoi qu’il en soit, l’histoire porté était si réelle que malgré la fatigue qui torturaient mes yeux, le sommeil ne pouvait venir afin la fin.

    Tûwênd-Nooma Jean Damase ROAMBA

    Contributeur

    Partager :

    • Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
    • Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
    • Cliquez pour partager sur WhatsApp(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
    • Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
    • Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre)

    Similaire

    Partager. Facebook Twitter Pinterest LinkedIn Reddit WhatsApp Telegram Email
    Article précédentLe film Duga: quand les charognards s’occupent du cadavre
    Article suivant Ntarabana: sur les traces du génocide rwandais
    La Rédaction
    • Website
    • Facebook
    • X (Twitter)
    • Instagram
    • LinkedIn

    Articles Connexes

    FESPACO KIDS : Le cinéma et la nutrition au profit des enfants

    6 mars 2025

    Fespaco 2025 : « Sanko, le rêve de Dieu »

    1 mars 2025

    « Fight like a girl » – FESPACO 2025

    1 mars 2025
    Laisser un commentaire Cancel Reply

    Publications récentes

    « Katanga, la danse des scorpions » : Dani Kouyaté à la conquête de l’or

    26 février 202519 Views

    Kayaba Anaïs Irma KERE et sa première réalisation au FESPACO 2025

    19 février 202515 Views

    Clap de fin pour le FESPACO 2019 – Palmarès

    4 mars 201914 Views

    FESPACO KIDS : Le cinéma et la nutrition au profit des enfants

    6 mars 202513 Views
    Catégories
    • Artisanat (6)
    • Cinéma (46)
    • Histoire (12)
    • Littérature (1)
    • Musique (3)
    • Non classé (2)
    • Spectacles (5)
    • Tourisme (2)
    Archives
    Pub zone
    À ne pas manquer
    Histoire 14 mai 2025

    Ouverture des candidatures pour le Programme Adinkra : Un appel mondial aux leaders émergents d’Afrique et de sa Diaspora

    Delaware, le 5 mai 2025 Le programme Adinkra est fier d’annoncer l’ouverture officielle des candidatures…

    Partager :

    • Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
    • Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
    • Cliquez pour partager sur WhatsApp(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
    • Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
    • Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
    mots-clés
    AnaIs Irma Kéré Artisanat africain Arts plastiques Barkomo burkina Burkina Faso CAMP DE THIAROYE cap-vert CINEMA FESPACO Cinéma cinéma africain cinéma burkinabè Denise Fernandes Didy duga Fespaco2019 Fespaco 2019 Fespaco 2025 Fespaco Kids FESPACO SHORTS film ivoirien film malien films africains François-Xavier Destors Gaël Kamilindi Gouins Hanami hervé lingani Hilaire Thiombiano et Laurent Goussou-Deboise histoire africaine homosexualité en afrique jeune cinéaste burkinabè KPG Mariam Kamissoko et Fousseny Maïga musique burkinabè Nestlé Ouagadougou photographe burkinabè rafiki réalisateurs africains Résolution SAMBÈNE OUSMANE Sankara et moi serie televisuelle étalon d'or
    Rester en contact
    • Facebook
    • Twitter
    • Pinterest
    • Instagram
    • YouTube
    • Vimeo

    S'abonner

    Recevez les dernières nouvelles de SUD SAHEL.

    Pub zone
    À propos
    À propos

    Media pour la promotion du patrimoine culturel matériel et immatériel des peuples du Sahel.

    Contactez-nous :

    Email: priscillebanse@gmail.com
    Contact: +226 05 46 46 41

    Facebook X (Twitter) Instagram YouTube WhatsApp
    Notre sélection

    Ouverture des candidatures pour le Programme Adinkra : Un appel mondial aux leaders émergents d’Afrique et de sa Diaspora

    Patrimoine burkinabè – KPG : « ne pensons pas que ce sont des choses sataniques »

    Mois du patrimoine burkinabè : KPG ravive des contes à Ouagadougou

    Les plus populaires

    SIAO 2018: L’Ile Rouge au Pays des Hommes Intègres

    27 décembre 20180 Views

    Au fantôme du père : périple d’une femme en quête d’identité

    27 décembre 20180 Views

    Näel Melerd: cet artiste engagé dans la lutte anti-terroriste

    27 décembre 20180 Views
    FACEBOOK
    © 2025 SUD SAHEL. Réalisation : WEB GENIOUS.

    Tapez ci-dessus et appuyez sur Enter pour effectuer la recherche. Appuyez sur Esc pour annuler.

    Go to mobile version