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    Cinéma

    FESPACO 2025 – Camp de Thiaroye de Ousmane Sembène

    La RédactionBy La Rédaction26 février 2025Updated:26 février 2025Aucun commentaire2 Mins Read3 Views
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    Le film « Camp de Thiaroye » de l’écrivain, réalisateur et scénariste sénégalais, personnalité majeure de l’Afrique contemporaine Ousmane Sembène, décédé en 2007, a été projeté spécialement en salle ce mardi 25 février 2025 au FESPACO. Ce long-métrage de 147 minutes, sorti en 1988, retrace avec brio l’histoire du massacre des tirailleurs sénégalais à leur retour de la Seconde Guerre mondiale, dans le camp de Thiaroye au Sénégal.

    Le film, écrit par Ousmane Sembène, met en scène les tueries survenues au camp de Thiaroye, où des combattants africains ayant aidé la France à se libérer de l’occupation nazie furent abattus par l’armée coloniale.

    Dans le film, vingt-cinq tirailleurs sont tués en pleine nuit alors qu’ils revendiquaient leurs primes de démobilisation, que les officiers français avaient décidé de réduire drastiquement.

    Soumis à diverses humiliations, ils finissent par apprendre que le montant de leurs indemnités, comprenant arriérés de solde, pécules et primes de démobilisation, sera divisé par deux. Le sergent-chef Serge Diatta prend alors la tête de la révolte.

    Un général, venu imposer les décisions de l’administration coloniale, est brièvement retenu de force dans son bureau par les tirailleurs, en réaction à l’annonce de la réduction de leur solde de 1 000 francs à 250 francs.

    En représailles, le camp est bombardé dans la nuit du 1er décembre 1944, entraînant la mort de 25 tirailleurs sénégalais.

    L’histoire collective d’un continent

    Le film d’Ousmane Sembène connaît un grand succès grâce à son ancrage historique et son impact continental. Inspiré de faits réels, ce long-métrage ravive la mémoire collective africaine et place la France face à ses responsabilités. Si l’histoire officielle établit à 35 le nombre de tirailleurs sénégalais tués et à 35 celui des blessés, le film transpose cette réalité dans une œuvre de fiction marquante.

    La bande sonore, empreinte de tristesse, résonne après le massacre des tirailleurs, plongeant les spectateurs dans l’émoi et la révolte.

    Par Issa Sidwayan TIENDREBEOGO

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