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    Cinéma

    Demba : Les savoirs endogènes dans la gestion de la santé mentale

    La RédactionBy La Rédaction28 février 2025Aucun commentaire2 Mins Read0 Views
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    Le documentaire ‘’Demba’’ du réalisateur sénégalais Mamadou Dia a fait l’objet de visionnage ce lundi 24 février 2024 au « Ciné Burkina ». C’était en marge des projections de films entrant dans le cadre du FESPACO.

    Explorer les savoirs endogènes dans la gestion des problèmes liés à la santé mentale : c’est toute l’essence de ce film qui a mobilisé un nombre important des amoureux du cinéma. Sorti en 2024, il revient sur la vie de Demba, un homme qui, à quelques temps de sa retraite, est atteint de troubles mentaux après avoir perdu son épouse. Pendant deux ans, Demba essaie de dissiper les séquelles de la disparition de sa conjointe.

    S’il y a un aspect important à évoquer, c’est la réalisation de plans qui riment avec le l’objectif du film. Le réalisateur a fait usage des éléments techniques notamment le plongée et contre-plongée pour démontrer le contraste entre moments de faiblesses et moments de crise qui rythment la vie de Demba. Cependant, certains passages laissent une certaine confusion chez le spectateur notamment les souvenirs de la femme de Demba. En effet, des flash-backs sur des moments marquants en particulier le jour de leur 20e anniversaire de mariage, ne laissent pas comprendre qu’il s’agit d’un évènement passé.

    Le réalisateur fait met en avant la fête du « Tadjiboune », pour soigner les troubles mentaux. Demba va-t-il guérir après cette cérémonie de renaissance ?

    Un décor évocateur, une narration émouvante

    Le but du film est de dépeindre les réalités de la dépression et les techniques africaines pour traiter ce mal. Pour cela Mamadou Dia ne lésine pas. Du point de vue esthétique, le décor est en adéquation avec le sujet abordé. Les conditions précaires du lieu de service, l’environnement familial créent une certaine empathie chez les cinéphiles.Le réalisateur fait intensément usage du contre-jour pour donner plus d’esthétique au film.

    Des points comme la narration et certains éléments technique jouent un rôle capital. En effet, le réalisateur se sert du miroir à plusieurs reprises. Cela pourrait révéler l’effet de l’acteur de se voir en face.  A la maitrise des rôles par les acteurs, le réalisateur allie de l’humour, créant ici une dichotomie narrative interessante.

     Notre société fait face à un nombre important de cas dépressifs, des suicides et pourtant cela semble moins abordé.

    Irma Dembélé

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