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    Cinéma

    Le trône: « Le chapeau du chef flotte dans l’air »

    La RédactionBy La Rédaction28 février 2019Updated:28 février 2019Aucun commentaire3 Mins Read0 Views
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    Le FESPACO continue son bonhomme de chemin à Ouagadougou. Nous avons suivi pour vous « Le trône » de Tahirou Tasséré Ouédraogo, frère du Maestro, Idrissa Ouédraogo. C’est l’une des quatre œuvres burkinabè en compétition dans la catégorie Série-télévisuelle. Lisez plutôt !

    L’histoire se déroule dans le royaume de Zibar, où le palais est en alerte, du faite de la maladie du Roi. Le roi gravement malade, va bientôt mourir, tout le monde le sait. N’ayant pas eu d’héritier jusque-là, les gens n’avaient qu’une question en tête, qui le remplacera, quand mourra-t-il ?

    Cependant, vivait au palais royal, la famille du frère du roi de Zibar, qui se voyait déjà au trône après le décès de celui-ci. En effet, Princesse Raza, femme du frère du chef, n’avait d’yeux que pour le trône. Allant jusqu’à tenir tête à son mari, l’intimant de destituer le roi, son propre frère. Cette femme était prête à tout pour devenir « reine ».

    Un beau matin, alors qu’elle pensait que toutes les conditions étaient réunies pour que son mari prenne le trône, on annonce que la reine est enceinte d’un garçon. Elle porte ainsi en elle, l’héritier du roi, le prince, c’est-à-dire, le futur roi de Zibar. Cette « bonne nouvelle » pour les populations du royaume, était comme « une épine » pour la Princesse Raza, qui se voyait déjà au trône avec son mari.

    A partir de ce jour, elle se dressera contre tous, pour pouvoir mettre toutes les chances du côté de son mari, pour parvenir au trône.
    Elle mettra à profit tous les moyens dont elle dispose, du maraboutage au fétichisme, en passant par le chantage ou la ruse, elle n’hésitera pas à vouloir éliminer le roi ; comme quoi, la fin justifie les moyens.

    Elle dit à qui veut l’entendre qu’elle a une meilleure vision, de meilleurs projets pour ce royaume et pour ce faire, il faut que sa famille vienne au pouvoir. Certains voient en son comportement, une maladie du trône, une folie. Parviendra-t-elle à ses fins ? La suite de la série nous le dira. La série fait ainsi cas de la problématique de l’alternance du pouvoir en Afrique.

    Minata Diéné dans le rôle de « princesse Raza », une femme pas comme les autres

    Contrairement à ce que l’on l’habitude de voir, où les querelles de successions de trône, sont l’affaire des hommes, ici, c’est une femme, qui prend les devants pour mettre fin au règne d’un roi, jugé incompétent pour diriger le royaume.

    Ce rôle de femme, battante, rusée, forte de caractère, qui a soif de pouvoir est incarné dans cette série, par la comédienne Minata Diéné. Le jeu d’acteur qu’elle offre ici, montre qu’une femme, ce n’est pas seulement rester derrière son mari, le suivre sans rien comprendre, mais c’est aussi, prendre les choses en main, les diriger s’il le faut.

    Au côté Aminata Diene, on note également la présence dans cette série d’acteurs de renom comme Oumarou Barou Ouédraogo, dans le rôle du Roi malade, Gustave Sorgho (conseiller du roi), Saturnin Milla ou encore Sita Traoré.

     

    Mariam SAGNON

    Contributrice

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